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mi-ange mi-démon

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Mi ange ou mi démon,
Es tu enfer ou paradis ?
Par ces images nous dévoilons…
Deux parures de saison,
L’une vous envoûte, l’autre vous étourdit !

Sur ces deux collections,
Sans indiscrétion,
Nous avons farouchement travaillé.
Captivante ou Immaculée,
Tels sont leurs noms,
Du noir, du blanc, d’autres couleurs aussi vous plairont.

Toute de dentelle ou de broderie,
Laquelle avez vous choisie ?
Mais faut il choisir au fond,
Lorsqu’on est mi ange mi démon ?

#lapoésiedelalingerie #jemesensdhumeurpoète #mavieenrimes

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I’m back !

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Un peu de distance avec les réseaux sociaux et l’animation du blog pendant cette courte mais ambitieuse période des fêtes. Voilà ce qui s’est passé.

 

 

Je n’ai pourtant pas fait que manger, boire et danser. J’ai aussi fait du bricolage, trié et rangé, vendu et jeté, appelé quelques amies et parents, fini un projet couture, entamé un projet photo, ramassé quelques végétaux envahissants dans le jardin, avalé une ampoule de vitamine D, avancé dans le pas à pas de Julia Cameron «libérez votre créativité», pris un bon bain chaud avec huiles essentielles et tout le toutim dedans.
Et surtout, surtout, prendre un peu de distance vis à vis de mon ordinateur a été un mal nécessaire pour me ressourcer, même si je confesse avoir gardé le téléphone un peu en main quand même (et ouvert une page Facebook au blog 😉 !

Les fêtes de Noël sont souvent un marathon familial et gastronomique dont on ne ressort pas indemne. La plupart du temps, la reprise début janvier est laborieuse, au moins aussi fatigué à la sortie qu’à l’entrée.

Pour ne pas démarrer 2018 sur les genoux, j’ai opté pour une stratégie différente cette année : zéro contrainte pendant les fêtes, et ensuite, aucune résolution, pas d’objectifs et donc ni pression ni stress.
Je vais continuer sur ma lancée en scandant un inhabituel, mais néanmoins salvateur, «non ! pas de bonnes ré-so-lu-tions en jan-vier !».

Parce qu’après tout, qu’est ce qu’une résolution, même bonne, sinon une chose à laquelle nous devons étymologiquement nous résoudre ? Nous résoudre, mmm… ça veut dire quoi ? Une attitude  à laquelle on n’a pas vraiment envie d’adhérer mais à laquelle il va bien falloir se plier ? On se fait un peu violence quoi ! C’est comme ça qu’on veut démarrer l’année ? Est-ce que ça a des chances d’aboutir positivement en partant de ce principe ? Pas sûr.

Alors, pour démarrer plus sereinement et essayer d’arriver entier au bout de ces 12 mois, soyons lucide et ne démarrons pas janvier par une ou plusieurs frustrations. Nous ne méritons pas ce traitement.

Procédons différemment, et mettons par écrit une chose, une seule, que l’on désire ardemment. On la fait belle, on la décore, et on met cette phrase dans un joli cadre, bien en vue, comme un tableau d’inspiration continuel, une INTENTION.
Puis on laisse le ciel et les choses se mettre en place, tranquillement, en restant attentionnée pour saisir la chance qui va se présenter. Parce qu’elle va se présenter.

Louis Pasteur a dit : «la chance ne sourit qu’à l’esprit préparé».

Alors, pour une année 2018 éblouissante, on se prépare ?

Je propose en guise de carte de voeux mon #bestnine, rétrospective des accomplissements, petits bavardages, belles histoires et bien sûr quelques objets désirables, découverts dans the Chatterbox Club tout au long de cette année 2017.

Vous aurez peut-être à coeur de retrouver Claire ou Solène, par exemple, ou de cliquer sur un article qui vous aurait échappé…
Au fait, vous ai-je dit que les créations de Claire ont été sélectionnées pour les fêtes par le célèbre concept-store parisien MERCI, et que Solène est actuellement à La Havane d’où elle se nourrit des couleurs et des ambiances qu’elle retranscrira dans ses prochaines illustrations ?

Cliquez sur une image de la mosaïque de dessous, il vous ramènera à l’article…

Pour finir cette intro de rentrée et surtout pour bien commencer 2018, si vous avez décidé d’être aussi bienveillant que possible envers vous-mêmes cette année, alors BIENVENUE AU CLUB !

BODY POSITIVE 27 septembre 2017

BODY POSITIVE

27 septembre 2017
PANNE DE VOITURE 21 juin 2017

PANNE DE VOITURE

21 juin 2017
FLAIR IS FRENCH 20 octobre 2017

FLAIR IS FRENCH

20 octobre 2017
JOURNEE OUTSIDE THE BOX 24 juillet 2017

JOURNÉE OUTSIDE THE BOX

24 juillet 2017
CLAIRE COLIN 14 septembre 2017

CLAIRE COLIN

14 septembre 2017
LA FOLIE DES CULOTTES BRODEES 26 juin 2017

LA FOLIE DES CULOTTES BRODÉES

26 juin 2017
FASHION REVOLUTION 28 avril 2017

FASHION REVOLUTION

28 avril 2017
SOLENE DEBIES 14 novembre 2017

SOLÈNE DEBIÈS

14 novembre 2017
L'ETE A BON DOS 31 juillet 2017

L’ÉTÉ A BON DOS

31 juillet 2017

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Prague-par-moins-10

Prague par -10° C

450 450 The Chatterbox Club

Prague-par-moins-10Il fait froid, ça y est, l’hiver nous arrive.
Certains ont même déjà de la neige !
Les fils Instagram regorgent de tasses de thé et de feux de bois.
Si vous n’avez pas encore cédé à la tentation de la matière de l’hiver par excellence, le velours, je vous invite à aller voir ma sélection du moment dans le dernier “objets désirables” du mois.
Et si le froid ne vous fait pas peur, embarquez avec moi pour Prague.
Peut-être cela vous donnera-t-il envie d’y faire un tour pour le réveillon.

Suivez le guide !

PRAGUE EN HIVER

Une fois n’est pas coutume. Non, ce ne sera pas de textile, de dernières nouveautés en couleur ou en matière, ni même d’un savoir-faire particulier, d’une marque inédite ou innovante, et pas non plus de concept tendance dont je veux vous parler cette semaine.
Je ne vous dis pas que je ferai cela très souvent, ni que je m’en ferai une spécialité.
Mais cette semaine, on va “voyager” un peu ensemble.

Je vous amène à Prague, ville magique, magnifique, lumineuse … mais glaciale en hiver.
Ça en ajoute à sa beauté.
Le soleil se couche tôt sur la Vltava et réchauffe de jaunes et de rosés les clochers, les sculptures et les façades historiques.

En décembre dernier, nous sommes partis en famille rejoindre des amis pour un gros weekend de retrouvailles, de picolade (et pas seulement pour se réchauffer, vous allez comprendre), et de découvertes en tous genres.
Guidés, il faut le dire, par une famille française mais autochtone depuis 3 ans, cela nous a permis certainement quelques passe-droits et bons plans locaux.

J’ajoute à cela le fait que, dans notre séjour, comptait le réveillon du Nouvel An, avec prévision de feu d’artifice, ce qui promettait déjà des souvenirs inoubliables.

Il faut aussi que je vous dise que nous connaissions déjà Prague pour l’avoir sillonné en amoureux il y a de cela 5 ans, c’est-à-dire dans des circonstances bien différentes de cette fois-ci…

Ce qui vous attend dans ce billet :
quelques idées originales hors des sentiers battus, une adresse secrète, et enfin, “cherry on the cake”, une surprise francophone pour un accueil de guest star !

UNE ADRESSE SECRÈTE

Je commence direct par l’adresse secrète, car je vous sens fébriles.

Nos amis ont eu l’extrême gentillesse de tout organiser pour notre séjour, ce qui est très, très, agréable, reconnaissons-le !
Comme la sensation de se mettre les pieds sous la table quand on rentre chez soi, que tout est prêt et qu’il fait bon. Rien à prévoir avant, rien à gérer pendant. Le bonheur, ‘voyez ?

Donc, ne pouvant pas nous accueillir tous chez eux, ils se sont occupés de nous réserver un hébergement, avec quelques critères de départ (fixés par nous, je précise, et difficilement compatibles) :

  • à proximité de chez eux, donc en plein centre
    (pour pouvoir aller et venir à pied facilement)
  • et pas trop cher
    (les périodes de fêtes font grimper les prix, surtout dans cette ville hyper touristique).

À quelques jours du départ, l’annonce nous avait été faite : nous allions dormir dans un ancien Palais tchèque ! Quel luxe !
À l’arrivée. Désenchantement. Bien qu’idéalement située en plein centre, au coeur d’un parc qui longe le fleuve, l’Auberge de Jeunesse n’avait en fait investi que les deux derniers étages du bâtiment, et autant vous prévenir, le concept d’hôtellerie en est plus que sommaire.
J’ai dégringolé de 4 étages en ouvrant la porte de notre minuscule chambre sous pente.

Bon, positivons, dans l’appellation «auberge de jeunesse», on peut s’accrocher au mot «jeunesse» , et, passé l’effet de surprise, on perd 15 ans en un claquement de doigts !

Immédiatement, on s’est dit qu’on allait devoir boire vraiment beaucoup pour se donner le courage de rentrer le soir et dormir vite !

Et puis, finalement, même sans boire autant, quand on est jeune (ben oui, on a perdu 15 ans je vous rappelle), on s’adapte.
On rencontre plein de monde, on papote en claquettes et peignoir devant le micro-ondes pour se chauffer un thé, on s’empreinte le sèche-cheveux et on se tient le rideau de douche, sans complexe.

Pour les courageux que cette expérience immersive en période-post-communiste-hostile-et-précaire intéresse malgré tout, il y a un énorme avantage bien sûr, c’est le prix : 15€ par nuit ! imbattable !

DÉCOUVRIR LA VILLE AUTREMENT

Aucun mal à trouver tous les monuments et musées, grande place, petite place, château, horloge, cimetière, églises, parcs, qu’il faut aller voir selon ses envies et surtout la durée du séjour. Les guides papier ne manquent pas. Et vous saurez trouver le vôtre.

Mais compte tenu que nous avions déjà pratiqué Prague-à-deux et que, de surcroit, se déplacer à 16, avec des enfants, n’est pas chose aisée, nous avons opté pour des activités courtes, variées et inédites.

Ce sont donc quelques suggestions originales, voire hors des sentiers battus, que je vous propose de découvrir par ici pour rajouter du piment au voyage…

 

faire une promenade en cortège, en calèche ou en vieille voiture, décapotable de préférence, et avec une chaude couverture sous laquelle se pelotonner pendant que les rues défilent. Engager un chauffeur sur la place STARE MESTO.

promenade à Prague en voiture calèche

 

écouter un concert de musique classique à la MAISON MUNICIPALE, à Namesti Republiky, et profiter ensuite d’un dîner Art Deco dans sa partie restaurant. Pour connaître le programme et réserver 〈c’est là〉.

diner art deco maison municipale prague

marcher jusqu’à la MAISON DANSANTE : un bâtiment curieux qui mérite le détour par les rives du fleuve ; y monter et découvrir le restaurant GINGER&FRED pour la bouche et pour la vue (et aussi pour le symbole car Ginger & Fred, c’est, c’est, … Ginger Rogers & Fred Astaire bien sur !)

maison dansante Ginger et Fred Prague

 

se balader le long du fleuve VLTAVA, sur le quai Masaryk, est époustouflant, surtout dans les lumières jaunes du soleil couchant.

bateau Matylda quai Masaryk Prague

pont charles prague vue Vltavapasser voir le PONT CHARLES, sous le soleil, dans la brume, tôt le matin, à la nuit tombée. Il n’est jamais le même. À faire et à refaire pour passer d’une rive à l’autre (pas très original, j’en conviens, mais c’est le folklore et c’est tellement Prague).
Même la foule, qui se précipite pour aller et venir le long du Pont, toucher les statues, et éviter toutes ces perches à selfies, ne nous éloignent pas de notre but :  profiter, profiter, profiter, sillonner les étroites et sinueuses ruelles de la vieille ville, classées à l’UNESCO, et nous laisser emporter par l’air de romance. C’est l’évasion totale. Et si vous prenez le tram pour aller voir cette vue depuis les hauteurs de Prague, c’est encore plus beau !

découvrir les ruelles colorées, éblouis par ces tons de vert, rose, bleu, passer devant le Moulin à roue, puis le mur de John Lennon d’où vous pourrez facilement pousser la chansonnette, et enfin tomber sur les pingouins de l’île KAMPA. Quelle variété et sauts dans le temps !

 

puisqu’on est là, et qu’on aime l’Art moderne, visiter le musée Kampa, sans passer à côté de ces étranges bébés géants de David Cerny, un artiste qui est à Prague ce qu’est Gaudi à Barcelone. Pour finir, nourrir mouettes, cygnes et pingouins bien sûr ! Et admirer la vue.

bébés géants david corny prague

monastere strahov Pragueprendre de la hauteur avec le funiculaire de la colline de Petrin. Une fois en haut, la vue sur la ville est à couper le souffle. Traverser le parc et atterrir au monastère STRAHOV. Visiter sa bibliothèque baroque offre une indescriptible atmosphère. La vue depuis les hauteurs de la ville est simplement magnifique et il y a là une brasserie avec terrasse (pour les plus motivés), très conviviale sur la jolie place pavée.

adeptes des marchés authentiques ? se lever tôt et aller au marché HOLESOVICE à 20mn de tram du centre. Dépaysement garanti dedans et autour de ces anciens abattoirs. Le repère des cuistots et amateurs de bons produits.

marché HOLESOVICE Prague

continuer dans les découvertes vraiment locales, direction le sud de la ville en Tram et aller dîner au WINE FOOD MARKET, dans le quartier de Praha 5 Smichov. Autour de grandes tablées, où chacun va commander son plat au comptoir, on dîne dans une ambiance conviviale et chaleureuse, et on papote avec son voisin, qu’on le connaisse depuis 10 ans ou 10 minutes. Un vieux film qui défile sur l’écran géant campe le décor. Et pas un seul touriste à l’horizon malgré la période des fêtes !

restaurant wine food market Prague

pour les curieux et fans de brocantes, s’imposer une virée au NOVY ANTIK BAZAR, un dépôt géant de meubles et bric-à-brac, pour faire des affaires incroyables et une plongée dans le temps.

novy antik bazar Prague

on nous avait promis un feu d’artifice … Et bien, on n’a rien eu !
Trop de brume sur la colline et sur le fleuve. Juste quelques pétards en ville. Qui aurait pu en rester là ? Pas nous en tout cas ! Alors, s’il vous arrive pareille chose, sachez que dans beaucoup de petits commerces alimentaires, on trouve pendant les fêtes des fusées, pétards et autres artilleries assez impressionnantes. Nous en avons acheté un bon paquet, et tout fait pété dans un parc, à la nuit tombée, ravis de voir les mines réjouies de nos rejetons restés sur leur faim. Finalement, ça nous a mieux que consolés, c’était parfaitement grisant !

DES POINTS DE CHUTE INDISPENSABLES, VOIRE OBLIGATOIRES !

Oui, mais voilà, par -10° C, il faut aussi des points de chutes ré-gu-liers car on a souvent besoin d’un petit remontant ou d’un endroit cosy pour se réchauffer :

 

les brunchissimes complets et pas chers sont à prendre au CREME CAFFÉ BALCONE’S, quartier Mala Strana, à côté de la Tour Saint Nicolas, pour prendre des forces dès le matin (ou le midi pour les lève-tard).

Désolée ! J’avais trop froid… je n’ai pris la photo qu’une fois le brunch et le cappuccino engloutis hihi ! 😉

faire la queue chez NASE MASO vaut la peine d’être patient, c’est la meilleure adresse de Burgers, le rendez-vous des Pragois, juste à l’entrée du passage GURMET PASAZ DLOUHA.

restaurant burger nase maso prague

pour se réchauffer en fin de journée, faire une pause cosy au CAFÉ SAVOY. C’est un peu hors du centre historique, mais ça vaut tellement le coup de s’éloigner à l’heure du thé, juste un peu, pour le cadre, les moulures au plafond, les lustres, l’ancien comptoir à pains et la pâtisserie. So chic ! Totalement Grand Siècle !

cafe savoy prague

bien entendu, ne pas oublier de s’arrêter régulièrement pour un vin chaud aux épices et un TRDELNIK, croustillante pâtisserie à la cannelle. Il y en a partout, dans toutes les rues ! Personnellement, je préfère de loin ceux chauffés au feu de bois que ceux au gaz. Les plus succulents que nous avons pu gouter venaient d’un marchand ambulant en plein carrefour de NAMESTI REPUBLIKY. Bonne quête de Trdelnik !

TRDELNIK patisserie feu de bois prague

vue sur la Vtlava Prague enfin, par une belle soirée dégagée, et si possible le soir même du réveillon, s’offrir le dîner sur la péniche MARINA BOAT RISTORANTE, moins pour le menu italien (très bon mais pas vraiment typique) que pour la vue carrément époustouflante sur la Vltava, le pont Charles, le château et bien sûr, le feu d’artifice !

le marché de Noël et le centre de la ville ville, sont surpeuplés et nous avons pris grand soin d’éviter ces endroits pour ne pas nous perdre. Mais si vous êtes moins nombreux et plus courageux que nous, aventurez-vous dans ce dédale de chalets, d’odeurs et de lumières.

vieille ville prague

MAIS AVANT DE PARTIR !

Mais, avant de partir, on peut :

  • se munir du guide des voyageurs indépendants, petit, pratique et très bien fait http://www.guide-evasion.fr (on a trouvé ce guide papier parfait)
  • enfin, ne serait-ce que pour une journée, faire appel à une vraie guide qui nous fait nous sentir de véritables privilégiés et nous concocte une visite de Prague, en français, façon petits oignons.
    Et hop, réserver les services de LUCIE au +420 606 148 311 ou à  luciepraha@gmail.com . Elle étudie un programme ou un circuit sur mesure et vous donne son tarif si vous la contactez à l’avance. Nous avons fait appel à elle il y a 5 ans, et nous n’avons pas regretté. Forte de son succès, elle a dorénavant un site officiel http://www.guidedeprague.fr

ET MAINTENANT C’EST À VOUS…


Si notre voyage vous a plu et que vous voulez, à votre tour, me raconter le vôtre, j’attends avec plaisir vos retours d’expériences.


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et ces adresses qui peuvent donner des idées à des amis !

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Welcome on board !

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porte entrée végétation welcome on board

 

Welcome on board, c’est l’histoire d’une rencontre peu commune, certaines diront improbable.

Lorsqu’on lit un roman et qu’on apprend qu’il a été «adapté» au cinéma, on se tâte, n’est-ce pas ? Sera-t-il aussi profond, prenant et enveloppant que le livre lui-même ? Dois-je aller le voir ? Auront-ils changé des éléments de l’histoire ? Ne serai-je pas déçue ? Quels en sont les acteurs ? On glâne des avis çà et là. On cherche des extraits sur la toile, pour se donner une idée, se laisser convaincre d’y aller ou être certain de ne pas vouloir rompre le charme que le livre avait opéré sur nous.

Welcome on board c’est une histoire qui commence aussi par écrit. On l’écrit, on la lit, et relit, chaque jour petit à petit. Et le fil se tisse au fur et à mesure des semaines et des mois, entre des “amies” autour d’une envie de photographies. Des mots viennent ponctuer des photos, de plus en plus jolies dans nos galeries, à mesure que les interprètes s’améliorent et affirme leur patte.

Et puis un jour, quelqu’un «adapte» à son tour ce roman écrit, gravé sur écrans et tablettes, et le fait devenir réel sur la pellicule de nos vies. Quelqu’un organise une rencontre… en vrai.

On se tâte, n’est-ce pas ?
À nouveau. Cette rencontre sera-t-elle aussi profonde, prenante et enveloppante que sur écran partagé ? Dois-je y aller ? Vais-je retrouver les éléments de l’histoire ? Ne serai-je pas déçue ? Comment seront les actrices ?

Et là, pas moyen de chercher des extraits sur la toile, pour se donner une idée, se laisser convaincre d’y aller ou être certain de ne pas vouloir rompre le charme que la virtualité avait opéré sur nous.

Welcome on board, c’est un épisode de vie qui gomme les différences d’âge, d’éloignement géographique, ou de métier. Un moment suspendu. Hors du temps. Une bulle virtuelle qui devient réelle et où on ne se pose pas de questions.

C’est ainsi que Paulette, Nicolette, Eliette, Danette, Yvette et Claudette ont ainsi décidé de braver leur destin, de faire tomber les barrières et de se retrouver lors du dernier weekend d’octobre, celui où le dimanche dure 25 heures, pour faire durer le plaisir plus longtemps.

Ce fut une belle trouvaille ! Et oui, quand des amies se revoient après une longue distance, on parle de retrouvailles. Mais lorsqu’on ne se connait pas vraiment, n’est ce pas juste de parler de trouvaille ?

Quand j’ai suis allée à la rencontre d’Yvette à la gare, je savais que je devais chercher une marinière. Il m’a quand même fallu affronter le ridicule et accepter la déception d’aborder deux marinières avant de trouver la bonne ! À la troisième, des bras qui s’agitent, un sourire accroché aux oreilles et un pas engagé ne m’ont plus fait hésiter. Et de une !

Nous sommes arrivées chez Danette qui avait proposé d’accueillir notre trouvaille automnale, en hôte d’exception, préparant notre venue dans les moindres détails.

Paulette était déjà là. Elle est la première que j’ai aperçue et dont je me sois dit «elle n’est pas comme j’imaginais». C’est marrant comme on se fait une idée d’une personne, de ce à quoi elle devrait ressembler quand on ne la connait que par écrit. Pas du tout ce physique, ni cette voix. Et là, ça m’a fait la même retenue que lorsqu’on va voir un film dont on a d’abord dévoré le roman. «Je n’aurais pas choisi cette actrice pour le rôle». Pourtant ça aiguise ma curiosité et même ça m’amuse de la découvrir sous ces nouveaux traits.

Et puis, je rentre dans le film, les échanges fusent, les protagonistes s’entendent à merveille, le roman continue de s’écrire mais autrement, je finis par oublier les traits des visages que je m’étais imaginés. Je ne sais plus vraiment «quelle actrice j’aurais mis là avant.»

On oublie progressivement qui ont avait mis dans la peau de nos complices, l’image s’efface pour laisser la place au vrai visage, à la vraie voix, au vrai tempérament et au vrai rire.

Eliette et Nicolette sont, elles, telles que je les inventais. Exactement les mêmes. Physiquement en tout cas. Parce qu’à bien y réfléchir, Eliette est plus assurée que je ne me figurais.

Le weekend passe comme un charme. À la vitesse de l’éclair, malgré l’heure supplémentaire que l’automne nous accorde. Et chacune rentre chez soi, à la fin, les yeux légèrement humides, le souffle un peu court, mais le coeur rempli de fantastiques images et des saveurs qui nous accompagneront quelques temps encore.

Le lendemain, après une soirée sobre et une nuit réparatrice, je me réveille et je ne sais plus qui j’ai vu. Je me repasse ces beaux moments en mémoire et j’ai subitement un drôle de sentiment. Rêve ou réalité. Ce weekend a-t-il bien existé ? Quand je me replonge dans nos fils d’actualité, mon cerveau s’embrouille entre les têtes que j’avais construites et celles que j’ai vues de mes yeux.

Peut-être que d’autres que nous ont déjà tenté l’expérience de passer du virtuel au réel. Je vous le conseille !

Merci à toutes d’avoir rendu cette trouvaille possible. Il nous appartient d’en faire un jour des retrouvailles.

Claudette.

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Wisteria Lane

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Unsplash my life through a lens

 

 

Je suis sûre que vous n’avez pas oublié Wisteria Lane et ses desperate housewives. Aujourd’hui, je fais ma Bree Van de Kamp (comprendre “parfaite-maîtresse-de-maison”) … et vous propose un tour d’horizon de ce que nous pouvons faire avec des fleurs de glycine, autrement appelée WISTERIA.

 

 

Attention, article destiné aux curieuses et fines gourmettes. Equipez-vous de papier, crayon et patience. Si vous n’avez aucun des trois, passez votre chemin 😉

Bienvenue à Wisteria Lane

En Avril, Mai et parfois en seconde floraison en plein été, les spectaculaires et généreuses grappes de glycine s’accompagnent d’une irrésistible odeur de miel. Rien de tel pour nous faire rêver et imaginer tout ce qui pourrait être fait avec ces fleurs à profusion.

Pourquoi je me suis intéressée à ce sujet et écrit cet article ?  parce qu’il se trouve que j’en ai une glycine magnifique dans mon jardin, mais je déplore le fait que ça ne dure pas très longtemps. Je voulais prolonger ce plaisir un peu plus longtemps. Je vous livre les résultats de toutes mes recherches et expérimentations.

Bien sûr, je ne savais pas que la glycine se disait Wisteria en anglais quand j’ai commencé à regarder cette série des Desperate Housewives il y a des années déjà. En fait, je ne l’ai découvert que récemment. On apprend à tout âge !

À l’époque déjà, je m’étais attachée à ces héroïnes du quotidien, bien qu’avouons-le, même si chacune avait sa personnalité à laquelle on devait pouvoir s’identifier malgré le grossissement du trait, leurs conditions de vie ultra privilégiées et les rebondissements parfois ubuesques de leurs aventures m’ont parfois éloignée de quelques épisodes, notamment à la fin.

Je garde pourtant en mémoire et en référence culturelle, la maniaquerie de Bree qui veut tout contrôler et faire tout parfaitement (ce qui rejoindra peut-être un jour un post sur le syndrome-de-la-bonne-élève dont je suis atteinte depuis l’enfance, mais je me soigne…). Je garde également en mémoire la légèreté et la spontanéité de Gaby, son côté gamine qui agit avant de réfléchir, ça m’a toujours amusée.

Bref, revenons à nos fleurs. Que ferait Gaby ? un bain parfumé sans doute. Et Bree ? ça se passerait plus dans la cuisine…

 

Voyons comment on peut les manger, les boire, les conserver et puis qu’elles continuent de nous délivrer leur délicieux parfum encore quelques mois !

À MANGER

J’ai toujours entendu dire que la glycine était toxique et pourtant, depuis l’enfance, dans ma famille, on prépare des beignets de fleurs d’acacia qui sont pourtant de la même famille. En creusant un peu, j’ai vite découvert que seules les tiges et feuilles de glycine ne sont pas consommables, mais que les fleurs le sont bel et bien !

J’ai donc entrepris d’en prélever un plein saladier.

manger des fleurs de glycine

En salade, crues, pour faire joli !

 

Les fleurs de glycine peuvent être ajoutées aussi bien aux préparations salées que sucrées, crues, à saupoudrer sur une salade, comme sur cette photo,

 

 

ou cuites, comme nous le propose Taste of Beirut, blog spécialisé en recettes du bassin méditerranéen, simplement en salade avec des carottes cuites :

  • 5 à 6 grappes de fleurs (dont on retire toujours les tiges bien sûr)
  • 4 carottes, bouillies ou cuites à la vapeur puis tronçonnées en biais
  • Quelques fèves ou petits pois anglais (ceux un peu sucrés)
  • Assaisonner avec une vinaigrette légère ou sucrée au balsamique.

À la manière asiatique

Chinois et Japonais les consomment en légumes, cuites à la vapeur après les avoir recouvertes de farine de riz (cuisson ultra rapide de 4mn en autocuiseur). On les plonge ensuite dans une sauce à base de sucre + vinaigre de riz + sauce soja + huile de sésame (ou dans une sauce soja sucrée Kikkoman du commerce bio, ça le fait aussi !)

En rouleaux de printemps

Eric Orr nous livre également sa recette de rouleaux de printemps aux fleurs de glycine ici. Je n’ai pas gouté, mais comme je suis devenue la spécialiste des recettes de rouleaux de printemps (j’ai suivi un atelier cuisine sur le sujet, si si !) et d’autres saisons également, ça ne saurait tarder…

 

 En dessert

Elles s’accordent très bien avec les desserts à base de noix. Si vous préparez des financiers ou des tuiles, mettez de l’huile de noix dans la préparation et pensez à parsemer des fleurs de glycines à la fin !

En confiture

Elles peuvent parfumer des confitures ou des pâtes de fruits.

En beignets bien sûr

Pas très light, il faut bien le reconnaître, mais c’est cette recette que je cherchais à faire et que j’ai adaptée en version japonisante avec une pâte à tempura plutôt qu’une pâte à beignets classique (pas de lait dans cette recette).

Pour 6 personnes :

  • 125 g de farine
  • 50 g de maïzena (ou fécule de pommes de terre ou de riz)
  • 250 à 300 g d’eau froide
  • 1 oeuf
  • 1/2 sachet de levure chimique ou 1 c. à café de bicarbonate de soude alimentaire 1 pincée de sel
  • 2 sachets de sucre vanillé
  • du sucre glace pour la fin

Battre l’oeuf et l’eau, verser sur le mélange farine+fécule+levure+sucre+sel. Lisser au fouet ou au batteur jusqu’à ce que la pâte soit lisse et fluide.
Détacher toutes les fleurs en grappe des tiges (qui ne doivent pas être consommées) et incorporer les fleurs à la pâte.
Reconstituer des petits paquets de fleurs liées par la pâte et les plonger dans l’huile de friture.
La cuisson est très rapide. On peut placer une assiette au four à 100° pour maintenir les premiers tempuras le temps de finir la préparation.
À la fin, saupoudrer de sucre glace.

Et voici mon ying-yang de fleurs de glycine ! Bon appétit !

Sirop de fleurs de glycine pour pancakes

Cela ressemble un peu au sirop d’érable. Voici, une recette pour 700 ml de sirop de fleurs de glycine :

  • 85 g de fleurs de glycine égrappées (sans tige)
  • 500 g de sucre en poudre
  • 500 ml d’eau froide

Mettre le sucre dans une casserole avec l’eau.

Chauffer le mélange jusqu’à ce que le sucre soit entièrement dissous et porter à ébullition pendant 5 minutes.

Retirer du feu et laisser refroidir jusqu’à ce que la casserole soit seulement tiède (on doit pouvoir l’attraper à mains nues).

Incorporer les fleurs délicatement, couvrir et laisser la préparation pendant 48h. Ensuite, tamiser et verser le sirop obtenu dans des bouteilles stérilisées.

À déguster sur des pancakes le dimanche au soleil.

Et même en bonbon !

Cuisine en Folie nous guide en pas à pas pour faire des fleurs de glycine givrées ici, juste en trempant les fleurs une à une dans le blanc d’oeuf puis dans le sucre en poudre et en laissant sécher tranquillement sur du papier cuisson.


À BOIRE

Pour parfumer son thé vert (acheté en vrac)

Faîtes sécher les fleurs de glycine au four à micro-ondes, au fer à repasser entre deux feuilles de papier absorbant puis 24h sous presse, ou au four traditionnel à 100° le temps qu’il faut. La durée dépend de votre quantité de fleurs. Surveillez les. Incorporez en quelques unes ensuite dans votre préparation de thé vert.

Boire brûlant ou carrément glacé !

Supplément pour les patientes et manuelles :

Enfin, préparez, pourquoi pas, des petits cadeaux à vos ami(e)s pour les épater, en suivant le DIY de Atelier Fleur de Mai. Je vous avais prévenues… à fond Bree Van de Kamp ! 😉

En «infused water»  pour se rafraîchir l’été

Cette fois, c’est Scarlett du blog “22 v’la Scarlett” qui m’a donné l’idée de cette eau aromatisée : on met quelques fleurs de glycine avec de la menthe, ou du melon, ou quelques framboises, ou les 3 à la fois, on laisse infuser 24h au frigo, on filtre et on ajoute quelques glaçons ! Puis, une paille, une chaise longue, un bouquin… comment ça, je suis exigeante ?!


POURQUOI PAS EN PARFUM

J’ai essayé de les faire sécher pour en faire des variantes type pot-pourri, sachets pour parfumer un dressing, etc.. mais je n’ai pas été très convaincue par le résultat.

En revanche, pour les jusqu’au-boutistes, en suivant les explications très claires d’Audrey, il est facile d’en faire des bougies parfumées.

Et si cela ne vous semble pas assez parfumé encore, il suffit d’ajouter quelques gouttes de cette fragrance achetée chez Terre de Bougies.

Sachez que le parfum de glycine se marie bien à la fleur d’oranger et à la fleur de jasmin. Voire même à la cannelle.

En continuant dans l’olfactif, je ne pouvais pas omettre de vous parler de DIPTYQUE, la célèbre marque de bougies, qui a réalisé une eau de toilette à la fleur de glycine (pour se l’offrir, c’est ici).

Enfin, finissons par le meilleur, pour un moment de relaxation, quelques gouttes d’huile de glycine dans un bain ou à brûler dans un brûle-parfum, apaise et tranquillise. D’après mon herboriste, cela aide à la concentration dans le travail et les études. On ne va pas se priver !


DU PLAISIR ENCORE QUELQUES MOIS

Avouez ! C’est dommage que cette abondance de fleurs ne dure que peu de temps et qu’il faille se goinfrer littéralement de beignets, juste au moment où on voudrait perdre les 3kg en trop, gentils souvenirs des empiffrades de cet hiver. Et puis, comme c’est bon, pourquoi ne pas faire durer un peu le plaisir encore quelques mois ?

Ne craignez pas de congeler vos fleurs de glycine (pas trop ouvertes), en pensant à dater les sachets. Vraiment, ce n’est pas un gros travail.

J’espère que cette quête de sens autour de la fleur de glycine, qu’elle soit violette ou blanche, vous a mis l’eau à la bouche et des envies pour la prochaine floraison.

Si vous n’avez jamais rien tenté avec cette fleur, lancez-vous et faîtes-moi un retour de votre expérience. Je suis curieuse de savoir ce que vous en aurez pensé. Bien sûr, si vous en avez d’autres idées d’utilisation… je suis preneuse également !

Je peux vous dire que j’ai ramé et passé un temps déraisonnablement fou pour trouver toutes ces infos. Pas certaine de le refaire un jour sur un autre sujet, alors profitez, c’est cadeau.

Sources : Gerbeaud / Plantes et Jardins / lemanger.fr / eatweeds / wildedible / Asian Recipe / Taste of Beirut / Forageporage / Cuisine en Folie / Terre de Bougies / Diptyque Paris / 22 v’la Scarlett /

Crédit photo principale titre article : Unsplash / my life through a lens

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The chatterbox Club

Mais d’où vient ‘The Chatterbox Club’ ?

552 552 The Chatterbox Club

 

‘The Chatterbox Club’ existe en fait depuis longtemps. En moi. Mais je n’en ai pris conscience que tardivement.

Il est normal, si vous êtes là, que je vous explique un peu qui je suis et d’où vient ce blog.

 

‘The Chatterbox Club’ c’est le nom que la prof d’anglais avait attribué à mon petit groupe de copines, pénible gang de pipelettes (mais en front raw, please, pas du fond de la classe !) … Eileen, si vous passez par ici… 😉

Un club de pipelettes

Nous étions pleines d’énergie, bavardes incurables, légèrement dissipées (tiens, pourquoi les profs disent la même chose de ma fille ?!).
Cette Eileen était, elle, pleine de bienveillance et d’humour.

Et malgré ce « club » perturbateur, elle a toujours agit de la meilleure manière qui soit, en tâchant d’user de tous les stratagèmes possibles pour nous mettre en confiance (pas facile de parler anglais devant toute la classe, n’est ce pas ?) et faire se déployer nos atouts dans la vie.
Personnellement, je lui suis très reconnaissante de nous avoir apporté son côté tellement joyeux et généreux.
Elle m’a certainement plus aidée que n’importe quel autre prof, et même guidée… jusqu’en Angleterre. Elle m’avait dit : «si tu veux parler, va parler anglais !». Et c’est comme ça que j’ai atterri de l’autre côté du Channel. Mais c’est une autre histoire.

Vous en avez déjà rencontré des profs géniaux comme ça ? moi, honnêtement, pas beaucoup, mais ceux-là ont compté énormément.

Puis la vie a avancé à pas de géants, voire même à la vitesse de la lumière.

J’ai multiplié les jobs, dans la lingerie, le vêtement, l’édition, le meuble, la chaussure. J’ai collectionné les expériences, les voyages, entretenu ou perdu des amitiés, me suis mariée, ai déménagé, plein de fois, eu deux enfants. C’est bon, c’est bon, je ne suis pas centenaire quand même !

J’avais l’impression que tout ça s’enchainait bien, mais sans vraiment de calcul, juste j’allais où je me sentais bien, avec parfois un peu de chance, et parfois moins. Le fil de la vie !

Et puis, un jour, j’ai eu envie d’un peu de sens à tout ça. De recul. Envie de ralentir.
Je me suis posée pour y réfléchir…

Un site qui reflète ce que je suis

‘The Chatterbox Club’ m’est alors apparu comme une évidence.

Je vois maintenant qu’il est le lien entre ce que je suis, d’où je viens, ce que je fais aujourd’hui, ce que je partage avec mes amis, ce qui me passionne ou me questionne et certainement ce qui m’attend aussi.
Un peu comme un talent qu’on veut développer sur le tard, ce blog sera forcément amené à évoluer et j’espère que vous serez là pour le voir!

Alors, si vous me rendez visite de temps à autre, vous y trouverez :

–    du papotage
–    des questions existentielles
–    des jolies rencontres
–    des histoires de textile (parce que c’est quand même mon full time job)
–    un peu de lingerie, de chaussure et des trucs de filles
–    de la futilité
–    du joli
–    du joyeux

Un carnet de notes

‘The Chatterbox Club’ c’est aussi et surtout un carnet de notes.

Bien sûr, il y a Facebook pour partager, Pinterest et Instagram pour trouver de nouvelles idées ou échanger, mais pour garder une trace de toutes ces notes que je prends continuellement, ces photos que je fais, ces usines textiles qu’il m’arrive de visiter, ces créateurs et créatrices que je suis amenée à rencontrer, et puis surtout toutes ces personnes, autodidactes, enthousiastes et perfectionnistes, détentrices d’un savoir-faire ou d’une passion pour leur métier.

La curiosité et la créativité, que j’essaie d’entretenir en moi, se nourrissent de tellement de choses et que tout peut être inspirant. Alors ce carnet de notes, une certaine vision du beau, du durable, du responsable, de l’astucieux aussi, que ce soit dans mon secteur textile ou dans tout autre domaine créatif, je me l’offre en même temps que je vous l’ouvre.

Bienvenue au Club !

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