Tendance

sheena liam broderies lingerie

Sheena Liam, artiste hoopart

500 500 The Chatterbox Club

sheena liam broderies lingerieJ’ai découvert via www.teenvogue.com les oeuvres d’une jeune femme de 26 ans, Sheena Liam. Elle est modèle dans la sphère mode. Mais pas que.

La sphère, c’est certainement ce qui lui a inspiré l’envie de remplir la rondeur des tambours à broder.

Peut-être que je romance un tantinet ! Encore que. Pour exposer la délicatesse de ses oeuvres, elle a appelé son compte Instagram @times.new.romance . Alors ? J’invente ?

Je suis fan du talent de cette fille.

Des broderies féminines

Les broderies représentent des silhouettes de femmes, qu’on identifie plus facilement comme asiatiques mais qui pourraient être véritablement de toutes nationalités, toutes extrêmement modernes et actuelles.

Sheena travaille ses silhouettes en monochrome, fil noir sur fond naturel.

Le fil noir de jais utilisé rappelle le ton des cheveux des filles asiatiques bien sûr, et la toile brute appuie encore davantage l’authenticité de l’oeuvre et de son auteur.

La poésie du cheveu

Ce qui rend ses broderies si particulières et oniriques, c’est le fait qu’elles sortent du cadre.

La chevelure animée d’une manière toute féminine dans chacune des broderies 2D donne vie aux oeuvres. Il souffle comme un vent de liberté dans ces broderies. Elles prennent alors une autre dimension, celle de la 3D, sous forme de tresses, chignons, ou queues de cheval en relief.

Hoopart et storytelling, que d’anglicismes !

Hoopart traduit par l’art du cerceau. On y est !

La finesse du fil, le raffinement du dessin, ultra précis et graphique, c’est plein de poésie.

Tout à coup, on est happé à l’intérieur du cadre, on se surprend à passer un temps infini sur chaque cercle brodé, on cherche les détails, on s’attarde sur un geste, un mouvement qui nous amène à imaginer un contexte, et peut-être même une histoire. Du bon storytelling en somme…

 

Une délicate artiste à suivre sur son compte Instagram.

Belle découverte si vous ne la connaissez pas encore !

sheena liam broderies noodles

sheena liam broderies braids

sheena liam broderies bun

sheena liam broderies fingers

sheena liam broderies wind

sheen liam broderies thinking

sheena liam broderies tears

sheena liam broderies arch

sheena liam broderies scissors

sheen liam broderies upside down

Images © Sheena Liam

Sheena Liam, hoopart artist

Si vous avez aimé, n’hésitez pas à me le dire. Encore une chose qu’on partagera !

Je partage

Je tweet

J’épingle

Je mail

BODY soie et dentelle Jolies Mômes

Body Positive

500 500 The Chatterbox Club

L’automne est là depuis quelques jours, ouille ! Les châtaignes remplacent les figues, bientôt les citrouilles (oui, je sais bien, les rimes en ouille ça fout la trouille ^^).
On est passé du pastel au camel, et du lin à la laine en quelques semaines.
Coté lingerie, c’est le moment de s’offrir un BODY !

Eclectique sélection, diurne ou nocturne, pour nous donner envie d’avoir chaud et beau, chez les grands noms comme les jeunots… ça rend poète l’automne, non ?

Voici mes crush, faites-vous plaisir, vous n’avez plus qu’à cliquer 😉

Je partage

Je tweet

J’épingle

Dessin France Clara Castagné

1er Septembre

500 500 The Chatterbox Club

Dessin France Clara Castagné

 

Cet été, j’étais juste là, au creux de son oreille, et un peu à la naissance de son cou. Et vous, vous étiez où ? Cherchez plus loin votre portrait-destination, c’est beau de parler géographie comme ça.

Staycation

Vous l’aurez sans doute remarqué (vu la foule d’aficionados qui suit mon blog quotidiennement et les notifications de ma galerie instagram ^^) : cette année les vacances ont débuté pour moi le 1er août et se sont prolongées jusqu’au 31 (du même mois, faut pas abuser non plus).

C’était la détente la plus longue de mon existence. Enfin quasi, si j’occulte les 5 ans où je n’ai pas travaillé du tout pour cause d’enfants en bas âge, et qu’on peut résumer à une looooongue journée enfant malade. Mais une fois passé l’âge de 5 ans, une fois qu’ils ont tout attrapé, un jour ça se calme, et là vous avez 1 mois complet de rémission, de totale relaxation dont vous ne profitez d’ailleurs que ponctué d’ inquiétude et culpabilité (les habitudes sont tenaces), avant de trouver que vous vous ennuyez et qu’il faudrait bien se chercher du boulot.

Je conseille à toutes celles qui en sont rendues à ce stade, de songer à prolonger cette période d’un mois supplémentaire (en enlevant les deux ingrédients cités précédemment qui ne servent à rien pour savourer pleinement la recette) avant d’entamer leurs recherches car les très longues vacances, ça ne revient plus assez souvent ensuite !

Bref, cet été m’a donc réservé un genre de mois d’août suspendu au cours duquel j’avais prévu d’enchainer tout un tas de choses pour lesquelles on manque toujours cruellement de temps le reste de l’année (menus travaux, bricolage, jardinage, nouvelles tentatives culinaires, découvertes littéraires, copines, écriture, farniente, papotage avec le voisinage, expos et autres) et où finalement, le temps s’est joué de moi. Comme l’aurait fait mon pire ennemi. Il n’a pas arrêté d’appuyer sur la pédale d’accélérateur, et moi, je n’ai pas réussi à trouver le frein à main !

3/4 de staycation dans les règles (vous connaissez ce nouveau mot qui consiste à rendre sexy des vacances sans bouger de chez soi ?), à ne presque rien faire, comme passés sur le siège passager d’une voiture respectant les limites de vitesse, à regarder les paysages défiler lentement, pendant que les aiguilles de l’horloge, elles, roulent en Ferrari.

Puis 1/4 de côte ouest (de la France, pas des States), à coups de sauts de puce des sables ou de punaise des vignes. Court. Mais bien agréable.

Et au final quoi ? On est le 1er septembre. Non mais septembre !! Vous l’avez vu arriver celui-là ?

Je dois quitter ce siège passager, m’installer au volant et reprendre les commandes.

Voyager dans sa tête

Mais avant cette rentrée en trombe, je voulais partager avec vous un petit voyage que j’ai fait dans ma tête cet été, pendant ces 3/4 de staycation, à travers la découverte du formidable travail de Clara Castagné et de sa boulimique série de dessins réalisés à partir de cartes géographiques. L’Espagne, la Grèce, le Pérou, la Chine, le continent africain, … avec ça, garanti, on voyage de chez soi !

D’abord une vision d’ensemble. Puis, on se perd dans les détails du visage, de la coiffure, du geste, on cherche là où ça coïncide avec la carte. Et enfin, on se perd dans le relief de la carte elle même.

J’adore l’ingéniosité et l’imagination de Clara et ses œuvres sont tellement intemporelles qu’elles peuvent convenir à n’importe quelle déco intérieure. J’imagine très bien ces dessins transférés sur des coussins, des lampes, une nappe, des jolis carnets de voyage. 1000 idées fusent dans ma tête.

Ma préférence va à la femme chinoise. Je me la ferai bien offrir à Noël (c’est pas tout de suite, mais je tends des perches le temps que le message fasse son chemin ^^).

Si vous souhaitez continuer le voyage de votre canapé et découvrir plus encore des oeuvres de Clara, cliquez ici.

Allez voir, c’est beau, il y en a tellement plus, ça a été dur de choisir.

Et, comme je n’ai quand même pas pu m’empêcher de faire un peu de devoirs de vacances (#syndromedelabonneeleve ), j’ai rencontré en prime cet été une personne formidable dont je vous parle lundi. C’est une surprise !

Bonne rentrée, bon 1er septembre à tous et bon weekend (il n’est pas si loin…)

Dessin France Clara Castagné

La France

Dessin Afrique Clara Castagné

L'Afrique

Dessin Mappemonde Clara Castagné

Mappemonde

Dessin Chine Clara Castagné

La Chine

dessin Pérou Clara Castagné

Le Pérou

dessin Grèce Clara Castagné

La Grèce

Dessin Espagne Portugal Clara Castagné

L'Espagne et le Portugal

Dessins Continents Clara Castagné

Les Continents

Femmes du Monde Clara Castagné

Femmes du Monde

Je partage

Je tweet

J’épingle

Je mail

ETAM Soutien-gorge push-up FUNAMBULE

L’été a bon dos !

560 560 The Chatterbox Club

Pour peu que l’été veuille bien s’installer, nous dénuder les épaules et nous laisser lui montrer les dentelles de nos dessous-dessus, on porte quoi sous nos robes fluides cet été ? Parce qu’en ce moment justement, les soutiens-gorge se montrent à grand renfort de dos nageur travaillés, décorés et de jeux de bretelles, un peu comme un tatouage qu’on pourrait effeuiller… Caliente ! Mais magnez-vous, avec les nouveautés de la rentrée, tout cela pourrait bientôt avoir disparu !

Je partage

Je tweet

J’épingle

Flora Borsi Chien Animaleyed

Flora Borsi, photographe portraitiste

560 560 The Chatterbox Club
Flora Borsi Chien Animaleyed

«l’Art est une thérapie qui m’aide à faire avec mes émotions».
Flora Borsi.

Je vous amène dans l’univers de Flora Borsi, toute jeune photographe hongroise et artiste-poète de son état, bien que déjà internationalement reconnue dans le domaine du «fine art» . Et il y en a des choses à voir…


L’art visuel de Flora

Comme tous les photographes, Flora travaille et développe son art par succession de séries. Non seulement germe en elle l’idée de la photo, de la mise en scène, puis elle shoote, mais à la fin elle retouche et fait mouche !

Car, oui, Flora est passée experte ès-Photoshop. Elle peaufine, incruste, métamorphose et manipule, il faut bien le dire, les images avec sa palette graphique et sa souris. Elle les transforme en véritables oeuvres d’art.

C’est d’une série en particulier dont j’aimerais vous parler, puis vous la faire découvrir en images : ANIMEYED.


Créativité, perfectionnisme et extrême poésie

C’est en faisant un selfie avec son chien, qu’elle a trouvé l’idée et l’a développée à un niveau artistique pour l’étendre ensuite à d’autres animaux.

C’est donc l’histoire d’un hasard. Comme pour beaucoup de belles réalisations, le hasard a fait son oeuvre.

Certains diraient «il n’y a pas de coïncidence, il n’y a que des rencontres» .

La série ANIMEYED, de la contraction de ANIMAL + EYE, était née.

Après l’idée, le génie créatif est venu, l’inspiration d’associer son portait à l’image d’un animal et de les faire se rejoindre par le regard.

Ce qui a guidé Flora ? c’est l’envie de créer, dans une complexe harmonie de couleurs et de textures, une forme de métaphore pour évoquer nos relations aux animaux et comme ils font partie intégrante de nous, de notre monde, et de révéler les similitudes entre deux êtres pas si différents finalement.

Flora Borsi Poisson Lune Animaleyed

Flora décide alors de superposer son portrait scénarisé avec la tête d’un animal, de manière à faire coïncider leurs yeux, et même de le singer ou d’intégrer sa charte graphique.

Pour les curieux, entrez dans les coulisses ! et regardez cette vidéo sur son process créatif et le perfectionnisme qu’il faut pour réaliser ces images, ça dure moins de 4 minutes.

Je vous laisse à la rêverie de découvrir les autres clichés de cette série, qui parlent d’eux mêmes.

Flora Borsi chat Animaleyed

Flora Borsi flamant rose Animaleyed

Flora Borsi corbeau Animaleyed

Flora Borsi caméléon Animaleyed

Flora Borsi ecureuil Animaleyed

Flora Borsi colombre Animaleyed

Flora Borsi serpent Animaleyed

Flora Borsi poisson Animaleyed


Où est l’oeil du tigre ?

Les photos de Flora ont souvent à voir avec le regard, ce qu’on voit, ce qu’on ne voit pas, ce qu’on pourrait voir ou encore comment on est vu. Tout passe par l’oeil ou le viseur. Celui de la photographe bien sûr.

Elle estime entre 15 et 20 heures de travail sur chaque image, depuis la conception, le maquillage, la coiffure, la prise de vue, puis la recherche de l’image animale adéquate et enfin toute l’étape de retouche digitale qui représente les deux tiers du temps d’élaboration de l’oeuvre.

Ce qu’elle cherche dans ces images surréalistes ? à nous interpeller bien sûr, à attirer notre attention sur les questions des relations, de l’identité, de l’intimité, des émotions.

Cette série relate de la relation de l’Homme et l’Animal.

Mais comme ce ne sont que des autoportraits, on pourrait aussi dire que ça parle de la relation de la Femme à l’Animal. Si c’est celui qui sommeille en elle, alors, vous ne trouvez pas qu’il manque l’oeil du tigre !?

Je partage

Je tweet

J’épingle

Je mail

LAURA SIEGEL Black & blush robe soie

Esprit Shibori, es-tu là ?

500 500 The Chatterbox Club

Déferlante indigo pour cet été.

Le Shibori, cette technique de teinture japonaise par pliages successifs du tissu, jeux de cordes et de noeuds et enfin plongeon dans un bain d’indigo, se voit utilisé pour une grande variété d’objets cet été. Quand un art ancestral ramène de l’authenticité parmi nos imprimés modernes. J’aime ce bleu et ces motifs à chaque fois différents, exactement à l’opposé du procédé industriel de devoir tout contrôler pour obtenir un même résultat en série, et n’accepter aucune tolérance à la variation. Le shibori c’est exactement l’inverse : laisser le hasard nous surprendre !

Pour vous qui voulez plutôt vous lancer le défi de le faire par vous-même avec des vieux draps, Westwing a concoté un parfait DIY. Le plaisir de la découverte ‘in fine’ est délicieux.

Et si l’envie vous prend de vouloir découvrir le Japon en 2017 par ce prisme du Shibori, je vous invite à contacter TWO FOLD TEXTILES et expérimenter leur INDIGO RETREAT.

Enfin, je vous raconterai certainement un jour la « Belle Histoire » de Valérie Laudier, une artiste toute en indigo, dont j’adore le travail, axé sur le sur-mesure, le responsable, l’équitable (et la fabrication française).

Je partage

Je tweet

J’épingle

casque Marshall

Mes 5 découvertes Podcasts

500 500 The Chatterbox Club

casque Marshall

 

 

Je me suis récemment découverte une passion pour les podcasts : un nouveau monde s’ouvre à moi. Vous y entrez  ?

Un espace de respiration

Chaque instant volé au quotidien rythmé est une excuse pour s’évader et découvrir de nouveaux podcasts. J’ai même délaissé quelque peu la musique et mes playlists mensuelles ces derniers temps. Avec les podcasts, je respire !

Que je sois dans la voiture, dans le train, une salle d’attente, n’importe où, j’enfile vite-fait mon casque ou mes écouteurs. Et c’est parti pour la découverte !

Parfois, je m’y attarde, j’en essaie un, puis deux, et emballée devant le ton, la voix, les sujets traités, je m’abonne. C’est comme un gâteau succulent qu’on savoure cuillerée par cuillerée, et sans s’en être vraiment rendu compte, on a fini le plat et on se sent contenté de ce plaisir sucré.

D’autres fois, quelques minutes me suffisent pour savoir que je n’y reviendrai pas.

C’est d’ailleurs marrant de constater à quel point la voix et l’élocution de quelqu’un, surtout là, au creux de l’oreille, nous séduit ou nous repousse. Si je ne connais pas le visage du narrateur ou de l’invité, j’aime à en deviner les contours, la personnalité, les émotions qui peuvent pointer au détour d’une phrase ou d’une respiration.

Avide d’apprentissage

Ce que j’aime dans les podcasts, c’est apprendre quelque chose, que ça m’ait nourri à la fin. Et si je peux m’en servir plus tard, m’en souvenir en référence, ou me sentir grandie, alors c’est un bonus.

Ah oui, le podcast c’est, pour moi, davantage que la simple émission radio divertissante, cela a une fonction plus haute car pour me contenter, il doit m’instruire.

J’ai une nette préférence pour les formats d’environ 30mn, et en français.

Mais comme une jeunette dans le domaine, mon avidité de découvertes risque de m’amener vers des territoires encore inconnus, vers des versions anglophones, des sujets  plus ardus, des durées de plus d’une heure, qui sait ?

Si je fais des nouvelles trouvailles, je partagerai bien sûr !

Des choix féminins

J’ai l’impression que mes préférences plairont davantage aux femmes, bien que les sujets traités soient sinon universels, du moins non-dépendants de notre genre. Mais peut-être que le format podcast a cela d’intime qu’il convient bien aux femmes.

Qu’ils soient de succulentes pâtisseries et des friandises sucrées, voici ma petite liste de plaisirs podcasts :

1. «CHANGE MA VIE» : un Berlingot multicolore

Podcast du jeudi, de Clotilde Dusoulier, c’est le must.

D’abord sa voix, douce et juvénile, qu’on sent curieuse, amusée mais qui apaise.

On pourrait dire, pour simplifier, qu’elle parle de développement personnel. Mais en fait, c’est un peu plus que cela. Elle partage d’une manière très claire et sans jargon inutile ses méthodes pour aborder la vie et ses aléas avec présence, joie et sérénité.

Je ne peux pas vous dire lequel j’ai préféré, tellement ils sont tous une petite pépite. Mais celui de jeudi dernier «le miroir des autres» a fait écho en moi.

Un conseil : prenez les «épisodes» dans l’ordre depuis le début.

2. «LA POUDRE» : un Mistral Gagnant

Un jeudi sur deux, le podcast d’une fille qui parle de féminité et même de féminisme avec d’autres filles.

Je sais qu’elle va râler si elle passe par ici, parce que Lauren Bastide a longuement conversé avec Garance Doré et elles en ont conclu que leur part de femmes s’affirmait avec la maturité et qu’elles n’avaient plus peur des rides que trimbale le mot «femme» par rapport à la fraîcheur que laisse supposer le mot «fille». Néanmoins, je crois pouvoir le dire : c’est un podcast 100% fille, frais et quelque fois irrévérencieux.

La voix de Lauren est un brin sensuelle et mutine, volontairement, et le fait qu’elle reçoive ses invitées dans une chambre d’hôtel ajoute de la sensualité et de l’intimité à l’entretien. On se sent proche et immédiatement projeté dans l’univers de la personnalité dévoilée.

Un conseil : prenez votre temps ou faites comme moi, je l’écoute par petits morceaux car une heure d’affilée, ça peut être dur à trouver dans une journée.

3. «REMÈDE À LA MÉLANCOLIE» : une madeleine de Proust… heu non de Commercy

Eva Bester est mon idole. Elle est brillante, pointue, cultivée et tellement jeune pour avoir autant de références. Et puis on sent son oeil qui frise et la lèvre qui sourit. Elle m’épate. Quel que soit son invité, femme ou homme, de tous horizons, et sans particulièrement avoir d’actualité d’ailleurs, son propos est de faire se dévoiler son invité à travers une série d’hommages et de références à des titres, livres, ou personnages qui représentent pour lui des remèdes artistiques efficaces contre le vague à l’âme.

Dans ce cas, le podcast est un en fait un replay d’une émission radio France Inter, qu’on peut écouter en live chaque dimanche à 10h.

L’irrésistible Vincent Dedienne avoue qu’il doit surveiller sa complaisance à l’égard de la mélancolie, Leïla Slimani qui y puise une forme de force, ou encore Fabrice Luchini très en forme et toujours surprenant. Mais tant d’autres interviews savoureuses d’une durée d’au moins 45mn.

Un conseil : prendre des notes, c’est fou tout ce qu’on apprend !

4. «CURIOZIDÉE» : un brownie au sirop d’érable

Chaque mois, on jazze et on papote ! Le podcast quebécois (ha oui cet accent incroyablement «good vibes») qui s’est donné pour mission de nous présenter des portraits de gens normaux mais inspirants, porteurs de changement, qui participent à une société en transformation.

Deux amies, Clémentine et Aurélie, reçoivent à tour de rôle leurs invités, curieuses de savoir ce qui les a amené à découvrir une idée, à mener des projets professionnels, des modes de vie particuliers, des défis personnels.

Je ne sais quelle interview vous conseiller tellement elles sont toutes inspirantes. Je retiens l’observation de Béa Johnson, auteure du livre Zéro Déchet, qui a totalement transformé sa vie personnelle et professionnelle en adoptant le mode de vie Zéro Déchet. Ancienne artiste peintre exposée et reconnue, elle a renoncé à cette carrière et dit trouver dans la recherche de solutions pour mettre en place ce nouveau mode de vie une forme de gymnastique qui nourrit sa créativité et qui la satisfait pleinement. Inspirant !

Un conseil : 30mn de papotage inspirant, mon format idéal.

5. «LE CABINET DE CURIOSITÉ FEMININE» : de la barbe à papa

Bon, là, on change de registre. Imaginez un rencard entre copines sympas et rigolotes, plutôt autour d’un mojito que d’un thé vert (parfois il y a aussi des hommes qui participent quand même), et on parle clairement de sexe sans se prendre au sérieux. Quelque fois cru, mais jamais graveleux.

Alexia, auteur chroniqueuse pour le Plus du Nouvel Obs, orchestre un débat autour d’un sujet sérieux qui touche (c’est le cas de le dire) au corps de la femme et au sexe, sans tabou ni langue de bois, mais bien sûr avec légèreté.

Un conseil : ça peut être un peu le bordel dans le son du podcast, évitez de l’écouter dans la salle d’attente du médecin ou la queue du supermarché (quoi ?! c’est vous qui avez les idées mal placées…)

Si vous ne connaissez pas encore, testez-les et dîtes moi … vous êtes plutôt Berlingot, Mistral Gagnant, madeleine, brownie ou barbe à papa ?  😉

 

Credit photo de l’article : MARSHALL headphones

Je partage

Je tweet

J’épingle

Je mail

culotte brodée french touch marlotte paris

La folie des culottes brodées

500 500 The Chatterbox Club
culotte brodée french touch marlotte paris

Je ne sais pas d’où vient cette culotte-mania, mais c’est un fait, peut-être même un phénomène de société, qui-sait ?
C’est cette pièce, plus que n’importe quelle autre, qu’on veut rigolote ou même personnalisée.

Pourquoi personnaliser sa culotte ?

L’occasion d’afficher un message, de la mettre au prénom du chéri, d’y broder ce qu’on n’ose pas se faire tatouer, ou juste de se marrer…

En général en coton, froufroutante et parfois avec une légère bordure dentelle ou un élastique fantaisie, voilà où j’en ai trouvé des sympas.

Et vous, vous allez broder quoi sur la vôtre ?

Je partage

Je tweet

J’épingle

Je mail

Maud Fourier panier rond plage anse wax

Waxmania

560 560 The Chatterbox Club

L’amour est dans le WAX ! Une folle envie de ce tissu imprimé africain aux motifs figuratifs, géométriques, floraux, toujours très reconnaissables, qui « pimp » n’importe quelle tenue ou n’importe quelle déco en une seconde ! Avec l’été, on en a encore plus besoin ! Si vous voulez connaître un peu de son histoire et ses techniques, allez lire l’article d’Aurélie de Plumetis magazine. Et pour en acheter de qualité, c’est chez Vlisco qu’il faut aller. Et plus bas, c’est ma sélection à moi.

Je partage

Je tweet

J’épingle

Olivia Steele, artiste de lumière

560 560 The Chatterbox Club

J’aimerais vous faire découvrir Olivia Steele, une virtuose du néon.
Sa confession, comme une religion : BE LIGHT. SHARE WISDOM. MAKE MAGIC. *


Une fille de la génération digitale

Olivia Steele est une jeune artiste américaine, née en 1985, elle est une Millennial, une “digital native”.

La génération à laquelle elle appartient se traduit dans l’art qu’elle a décidé d’embrasser et qu’elle maîtrise à la perfection. Le néon. Lumineux. Distant. Percutant. Insaisissable. Intriguant.

On dit les Millenials plus curieux, plus ouverts, plus ingénieux, d’un niveau d’éducation plus élevé que leurs aînés, plus adaptables aussi, flexibles, plus collaboratifs, plus vifs, instantanés, plus réalistes, plus engagés, équilibrés.

Il me semble que l’oeuvre de Olivia Steele reflète absolument toutes ces qualités.

Light art


Light my fire

La typographie par le Light Art, la force et la forme du message, un genre de poésie moderne qu’Olivia Steele a choisi pour déclamer des mots, des phrases et des idées qui provoquent, amusent ou font réfléchir.

Attention. Pas seulement son message compte, le contexte également, que ce soit en intérieur ou en extérieur, tout est juste et ciblé.

Les mots sont simples et francs et prennent toute leur ampleur dans leur environnement, en ville bien qu’on s’attende à les voir apparaître ou en pleine nature où ils créent la surprise.

Ses mots, ses phrases, on pourrait même dire ses maximes illustrent ou sont soutenus par l’environnement dans lequel elle les pose, les confronte ou les réconcilie. Elle réussit à marier la sémantique au décor, pour faire parler des mots au delà de ce qu’ils disent déjà.

Tous les lieux qu’elle choisit, qu’ils soient grandioses, crasseux, inattendus et même improbables, changent de visage une fois qu’elle y installe sa vérité.

« Maybe seeing my truth will set a piece of you free »*

Light art - Olivia Steele


Des mots ciselés comme de la dentelle

Ses mots, toujours précis, parfois irrévérencieux, ou provocants, nous attrapent et suspendent le temps et le mouvement.

Son travail percute à chaque fois, voire il “uppercut” !

Il illustre son imagerie mentale, ses positions, et rend toute chose relative pour peu qu’on prenne un peu de temps, qu’on contemple et qu’on se laisse transporter.

Light art

Ce qui la fait vibrer, qu’elle singularise ou détourne, ce sont les phénomènes d’énergie, les ouragans, les explosions, la vie, l’amour.

Elle oscille entre extrême sincérité et sarcasme poignant, et nous laisse là avec nos propres interrogations. Avec ce que ces mots font écho en nous.

Une forme de sagesse et d’évidence émane de son travail et nous invite parfois à la rêverie. Elle flamboie à mettre en évidence nos contradictions et nos reliefs humains. Elle saisit notre oeil et notre coeur, et nous raconte son histoire dans chacun de ses happenings, comme le miroir de sa génération digitale, étonnamment mature, évoluée et avisée.

Rien de la fait reculer, ni la bombe atomique ni le sexe ou les symboles religieux. Les thèmes qu’elle aborde nous enflamment, nous retournent, nous bouleversent. C’est plus que de la poésie, c’est de la philosophie. Il y a de l’Aristote dans cette fille là.

Mais quel âge a-t-elle vraiment Olivia Steele pour savoir faire tout ça ?

Light art - Olivia Steele

Light art

Light art - Olivia Steele

Light art

Light art - Olivia Steele

Light art

Light art - Olivia Steele

Light art

Light art - Olivia Steele

Light art

Light art

Light art - Olivia Steele

Pour découvrir les oeuvres d’Olivia Steele en vidéo (5mn) c’est ici.

Et pour la suivre, c’est là : son instagram – son facebook – son pinterest

Elle lance : « mon art ne relate pas ce que je vois, mais ce que je vous invite à voir ».

Je suis certaine de ne pas être la seule touchée par cette fille et son art.

Et vous, ça vous parle ?

*sois la lumière, partage ta sagesse, fabrique la magie

* être amené à voir ma vérité libèrera peut-être une part de vous

Je partage

Je tweet

J’épingle

Je mail